Vous aimez vos montres, peut-être que l’une d’elles a une valeur toute particulière pour vous…
Peut-être vous rappelle-t-elle des souvenirs, heureux ou douloureux ? Peut-être que jamais vous ne pourrez vous en séparer…
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Cette nouvelle rubrique vous permettra de raconter vos histoires, de les partager…
Sous forme d’interview, cet article apparaîtra de temps en temps, peut être une fois par mois (on verra bien…).
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Ce quatrième épisode de “Histoire d’une montre” nous est proposé par Charles Hadrien, un lecteur passionné de montres, et plus précisément de sa Seiko.
Présentes-nous ta montre
C’est une Seiko 5 référence snzh55 surnommée “FFF” pour “Fifty Five Fathoms” , à cause de sa ressemblance avec la Blancpain Fifty Fathoms. Un boitier de 42mm en acier inoxydable alliant des cornes brossées et des côtés poli, un mouvement automatique 7s36 simple, fiable et de manufacture, chose extrêmement rare pour ce prix!! Un joli cadran noir soleillé avec des index appliqués et des aiguilles glaives recouverte de “lumibrite”. Je la porte soi sur le bracelet acier d’origine qui est de bonne qualité soi sur un NATO Phoenix “Bond”.
Quand et pourquoi l’as-tu acheté ?
C’est un cadeau! Offert pour mon 16e anniversaire, c’est donc une montre très récente. J’hésitais entre celle-ci et une autre référence de Seiko 5 (la “Sea Urchin”) mais mon père lorgnait déjà sur cette montre alors il m’a offert la FFF….et l’a vite regretté!
Qu’aimes-tu en particulier sur cette montre ?
Beaucoup de choses!! C’est une montre passionnante et jamais ennuyante, elle a de sublimes reflets en fonction de la lumière et je peux la regarder toute la journée elle n’est jamais pareil!! De plus c’est une montre très polyvalente et qui s’accorde aussi bien avec une veste de costume qu’un T-shirt. J’aime aussi beaucoup son côté confidentiel du fait qu’elle n’ai pas vendu en France…peu de chance que je croise une personne qui porte la même!
Tu la portes souvent ?
Plutôt oui, une à deux fois par semaine même si ma petite diver’s 200m pepsi ne quitte presque plus mon poignet. J’apprécie quand même la porter pour sa relative légèreté sur un NATO (par rapport à la diver’s qui est plus lourde qu’une submariner!) et pour ces magnifiques reflets dont je ne me lasse pas.
Tu as des souvenirs en particulier avec cette montre ?
Je ne l’ai pas depuis longtemps donc seulement deux: elle m’a d’abord accompagnée lors du concours art et élégance de Chantilly où elle s’est parfaitement marier avec ma tenue du jour avec son look de “plongeuse chic”. Le deuxième est un peu plus particulier: en effet cette montre est ma deuxième de ce modèle. Explication: la première que j’ai reçu pour mon anniversaire a subi un petit accident…et ne fonctionnait plus… Je recommande le même modèle et à la réception de la deuxième… Je me rend compte que la première fonctionne!! Je me suis donc retrouvé avec deux montres identiques la première étant en direction du sud de la France pour faire le bonheur de son nouveau propriétaire et la deuxième est en ce moment même à mon poignet.
Est-ce qu’elle a une valeur sentimentale ?
Oui, c’est un cadeaux de mes parents et de plus c’est ma première montre mécanique ayant une légitimité auprès de passionnés…et elle est vraiment magnifique, je le répète je ne m’en lasse pas!
Merci à Charles-Hadrien pour sa participation à “Histoire d’une montre” !
Vous pouvez participer en cliquant ici (formulaire d’interview)
Waaaaaw !
J’aime quand une personne décrit qqchose avec le lexique approprié !!! Lumibrite… aiguille « en glaive » 🙂 …. love it !